Réaction du Ministre DE GUCHT suite à la tenue d'une réunion du Conseil de sécurité sur la situation
Le Ministre De Gucht s'est félicité de la tenue aujourd'hui à New York d'une réunion publique du Conseil de sécurité sur la situation en Birmanie. Au cours des derniers jours, la Belgique s'est impliquée activement afin de mettre à l'agenda du Conseil de sécurité la réaction violente du régime birman contre des manifestations pacifiques. Le 26 septembre, la Belgique avait déjà insisté pour la tenue d'une réunion d'urgence à ce sujet. "L'opinion publique mondiale ne comprendrait pas que le Conseil de sécurité ne prenne pas ses responsabilités. Les leaders birmans doivent être conscients que dans un monde globalisé une telle manière d'agir ne peut rester sans réaction."
Le Ministre De Gucht s'est félicité de la tenue aujourd'hui à New York d'une réunion publique du Conseil de sécurité sur la situation en Birmanie. Au cours des derniers jours, la Belgique s'est impliquée activement afin de mettre à l'agenda du Conseil de sécurité la réaction violente du régime birman contre des manifestations pacifiques. Le 26 septembre, la Belgique avait déjà insisté pour la tenue d'une réunion d'urgence à ce sujet. "L'opinion publique mondiale ne comprendrait pas que le Conseil de sécurité ne prenne pas ses responsabilités. Les leaders birmans doivent être conscients que dans un monde globalisé une telle manière d'agir ne peut rester sans réaction."
Réaction du Ministre DE GUCHT suite à la tenue d'une réunion du Conseil de sécurité sur la situation en Birmanie Bruxelles, le 5 octobre 2007 Le Ministre De Gucht s'est félicité de la tenue aujourd'hui à New York d'une réunion publique du Conseil de sécurité sur la situation en Birmanie. Au cours des derniers jours, la Belgique s'est impliquée activement afin de mettre à l'agenda du Conseil de sécurité la réaction violente du régime birman contre des manifestations pacifiques. Le 26 septembre, la Belgique avait déjà insisté pour la tenue d'une réunion d'urgence à ce sujet. "L'opinion publique mondiale ne comprendrait pas que le Conseil de sécurité ne prenne pas ses responsabilités. Les leaders birmans doivent être conscients que dans un monde globalisé une telle manière d'agir ne peut rester sans réaction." A cette occasion, le Conseil a entendu une introduction du Secrétaire général Ban Ki-Moon puis un briefing de l'Envoyé spécial du Secrétaire général, le Professeur Ibrahim Gambari, sur sa mission de bons offices dans le pays. Il a à cette occasion rencontré le chef de la junte militaire, le Général Than Shwe, différents Ministres, mais aussi à deux reprises l'opposante, Prix Nobel de la Paix, Aung San Suu Kyi, en résidence surveillée. "La visite de M. Gambari sur le terrain et la tenue de cette réunion publique du Conseil de sécurité sont des éléments importants dans la recherche d'une solution durable à la crise grave en Birmanie. C'était également pour les membres du Conseil l'occasion d'exprimer leur soutien aux bons offices du Secrétaire général et de son Conseiller spécial. Il reste néanmoins encore un chemin important à parcourir", a indiqué le Ministre De Gucht. Au cours de son intervention, la Belgique a condamné la répression brutale des manifestations non violentes. La Belgique a formulé trois exigences, à savoir le lancement immédiat d'un processus politique inclusif, une véritable démocratisation dans le respect des droits fondamentaux et la libération de tous les prisonniers politiques, y compris la libération sans condition de Mme Aung San Suu Kyi. La Belgique a fait référence à la décision de l'Union européenne d'étendre son régime de sanctions à l'égard de la Birmanie. M. Gambari se rendra prochainement à nouveau en Birmanie, afin de poursuivre sa mission de bons offices.