Deuxième conférence de la diaspora burundaise

Le Ministre des Affaires étrangères, Karel De Gucht, se félicite de l'organisation à Bruxelles, du 23 au 25 mai, de la deuxième conférence de la diaspora burundaise, co-organisée par l'Ambassade du Burundi à Bruxelles, l'Association des Parlementaires européens pour l'Afrique (AWEPA) et le groupe des experts de la diaspora, avec l'appui du SPF Affaires étrangères. Le thème de cette conférence sera l'apport de la diaspora au développement économique de son pays d'origine. La relance de l'économie burundaise est en effet essentielle pour le développement du pays et la diaspora a un rôle extrêmement important à y jouer.

Deuxième conférence de la diaspora burundaise Bruxelles, le 21 mai 2008 Le Ministre des Affaires étrangères, Karel De Gucht, se félicite de l'organisation à Bruxelles, du 23 au 25 mai, de la deuxième conférence de la diaspora burundaise, co-organisée par l'Ambassade du Burundi à Bruxelles, l'Association des Parlementaires européens pour l'Afrique (AWEPA) et le groupe des experts de la diaspora, avec l'appui du SPF Affaires étrangères. Le thème de cette conférence sera l'apport de la diaspora au développement économique de son pays d'origine. La relance de l'économie burundaise est en effet essentielle pour le développement du pays et la diaspora a un rôle extrêmement important à y jouer. Le Ministre rappelle à cet égard que, pour que l'effort des partenaires au développement du Burundi puisse porter ses fruits, il est essentiel que les institutions de ce pays fonctionnent normalement. Il espère que la présence en Belgique, à l'occasion de cette conférence, de quelques uns des principaux leaders des partis politiques burundais, sera mise à profit pour permettre le déblocage de la situation au Burundi. Enfin, le fait que cette conférence coïncide avec le retour des négociateurs du Palipehutu-FNL au sein du Mécanisme Conjoint de Vérification et de Suivi (MCVS) qui doit mettre en oeuvre les accords signés en 2006 entre ce mouvement et le Gouvernement burundais, doit également être salué. La paix est en effet essentielle au développement et le Ministre espère que le temps perdu puisse être rattrapé et que la situation sécuritaire au Burundi soit rapidement stabilisée.